Nouvel ordre mondial : défendre l’humanité contre l’écodémocide

L‘idéologie libérale, censée être fondée sur des droits auxquels tous les peuples sont attachés, est en train d’enfanter sous nos yeux une société monstrueuse, au nom du Nouvel ordre mondial. Cette analyse revient sur cette dérive et montre que, sous couvert de lutte contre le changement climatique présenté comme anthropique, l’écofascisme est le visage parfait de la volonté des acteurs de l’ancien ordre mondial, qui sont aussi architectes du nouvel ordre mondial, de justifier l’emploi de méthodes autoritaires et criminels dans le cadre de la Grande réinitialisation pour un Nouvel ordre mondial. Nous montrons qu’imaginer qu’un tel régime n’a encore vu le jour ou qu’il n’a jamais constitué un programme politique officiel est une grande erreur. Nous plaidons ainsi pour le réveil des peuples avant qu’il ne soit trop tard c’est-à-dire avant leur asservissement, et pire, avant l’éventuelle catastrophe ultime à savoir un écoanthropocide, écodémocide ou écohomicide, soit une extermination pure et simple de pans entiers des populations “pour la cause climatique”.


Les événements de ces dernières années ont ressuscité une inquiétude récurrente chez des nations et personnes soucieuses de leur liberté, de leurs biens, de leurs valeurs et de leur dignité personnelle. Cette inquiétude est centrée sur les perspectives d’émergence d’un nouvel ordre mondial, une vision totalitaire du monde par des élites mondialistes déterminées à détruire les vestiges des États-Nations et qui passe par un contrôle de la liberté d’expression, de la libre entreprise et de la libre pensée.

Avant de se demander dans quelle mesure de telles inquiétudes sont justifiées, notons que le récit du «nouvel ordre mondial» contient généralement un élément «négatif» et un élément «positif». L’élément négatif décrit comment l’oligarchie mondialiste a l’intention de provoquer un effondrement socio-économique mondial (c’est-à-dire d’éliminer l’ancien ordre mondial) tandis que la contrepartie positive se concentre sur la nature du totalitarisme mondial qui sera construit sur les cendres de cette destruction. À cet égard, il est essentiel de noter que les théoriciens du nouvel ordre mondial dépeignent presque toujours le totalitarisme  comme une forme de féodalisme technocratique avec des nuances communistes, rappelant le plus étroitement la Chine actuelle couplée au politiquement correct à l’occidentale et à l’eugénisme malthusien.

En ce qui concerne la partie négative du récit en question, on peut raisonnablement affirmer que loin de consister en des spéculations complotistes, il se déroule de manière flagrante sous nos yeux. L’inflationnisme mondial coordonné à long terme, les «dépenses de relance» persistantes, l’étranglement «écologiste» du secteur de l’énergie, la folie destructrice des blocages et la promotion incessante de la folie “woke” semblent clairement former une tempête parfaite de chaos mondial planifié. Évidemment, aucun de ces phénomènes n’est spontané, et il ne faut pas être un génie pour saisir les conséquences totalement ruineuses de leur mise en œuvre. Ainsi, la dévastation continue de «l’ancien ordre mondial» – aujourd’hui le plus souvent appelée la «grande réinitialisation» ou «reconstruire en mieux» – sent la malveillance coordonnée, suscitant des inquiétudes bien justifiées.

La partie «positive» du projet de nouvel ordre mondial, en revanche, semble plutôt être un croque-mitaine. Et ce tout simplement parce que le type de totalitarisme mondial que les théoriciens du nouvel ordre mondial envisagent généralement est une impossibilité praxéologique. Premièrement, un dépeuplement complet, loin de centraliser la quasi-totalité des ressources productives entre les mains de l’élite parasite, saperait considérablement son pouvoir en éliminant l’essentiel du potentiel productif de l’économie mondiale. Après tout, comme l’a noté Julian Simon, ce sont les êtres humains, avec leur inventivité et leur esprit d’entreprise, qui constituent le principal moteur du développement économique. Ainsi, en exécutant leurs plans malthusiens, les élites mondialistes scieraient la branche sur laquelle elles sont assises et s’élimineraient avec leurs victimes.

Deuxièmement, si la population mondiale subjuguée devait être littéralement asservie plutôt que abattue dans un vaste plan eugénique, alors le nouvel ordre mondial s’effondrerait également en un rien de temps. En effet, un totalitarisme international stable et fonctionnant bien devrait s’appuyer sur des solutions technologiques extrêmement complexes et des quantités massives de biens d’équipement de haute qualité. Cependant, les armées d’esclaves littéraux ne peuvent pas créer ou maintenir de tels biens, ni concevoir et mettre en œuvre de telles solutions. Après tout, les esclaves sont notoirement des individus improductifs, car ils n’ont aucun moyen et aucune incitation à investir dans leurs talents, compétences, contacts et ressources complémentaires. De plus, il est inconcevable que les maîtres accomplissent ces tâches, puisqu’ils constitueraient une toute petite croûte supérieure.

Troisièmement, si l’on devait suggérer que le nouvel ordre mondial pourrait fonctionner avec succès sur la base de solutions d’intelligence artificielle très avancées, alors, encore une fois, la question naturelle est de savoir qui concevrait et superviserait l’infrastructure pertinente. Les marionnettistes d’élite, quelle que soit leur ruse, seraient trop peu nombreux pour accomplir cette tâche. Des masses d’esclaves, comme indiqué précédemment, seraient singulièrement mal équipées pour réussir cet exploit. Enfin, un groupe potentiel de cadres intermédiaires «semi-élites» ne serait également d’aucune utilité dans ce contexte. Si nous voyons aujourd’hui à quoi pourrait ressembler un totalitarisme pur et dur de ce type, les membres de cette caste devraient être encore plus profondément endoctrinés dans le wokisme sous un tel système. Et puisque cette idéologie peut se résumer à une révolte particulièrement dérangeante contre la réalité, elle convient particulièrement mal aux environnements technologiquement exigeants.

En dernier lieu, il faut souligner que le nouvel ordre mondial serait encore plus vulnérable au problème du calcul misien que ses prédécesseurs totalitaires «classiques». Après tout, le pouvoir politique et la capacité de décision économique devraient être beaucoup plus fortement concentrés entre les mains d’une minuscule oligarchie qu’ils ne l’étaient dans l’ancien bloc soviétique. Et si pendant un temps, les dirigeants de ces pays ont pu maintenir un semblant de rationalité économique en calculant en termes de prix externes et en tolérant l’existence de marchés noirs internes, de telles solutions ne seraient pas disponibles dans une dictature mondiale d’omnisurveillance technocratique. Ainsi, il s’avère qu’une telle dictature est une absurdité praxéologique – un système qui peut sembler très menaçant sur le papier mais qui n’est rien de plus qu’une chimère psychopathique.

Ainsi, il faut s’interroger sur les véritables motifs de la destruction frénétique de l’ordre socio-économique actuel par la clique mondialiste.

De l’écofacisme à l’écoanthropocide

Assurément, les défenseurs du nouvel ordre mondial sont assez rusés pour se rendre compte de la nature insurmontable des défis mentionnés ci-dessus. Qu’est-ce qui inspire alors leur manie ruineuse, s’il n’y a pas d’argent et de pouvoir supplémentaires à gagner? La seule réponse satisfaisante est complètement effrayante : il semble qu’ayant acquis tout l’argent que l’on peut dépenser et tout le pouvoir que l’on peut exercer, l’élite mondiale reste capable de tirer une satisfaction psychologique perverse de s’engager dans des actes de destruction gratuite à grande échelle. En d’autres termes, ses représentants ne semblent pas gênés de commettre un suicide spectaculaire tant qu’il s’agit d’un effet secondaire d’un gigantesque démocide.

La décarbonation, un génocide au nome de l’écologie

L’ONU s’est dotée en 1992, à l’occasion du sommet de Rio de Janeiro, d’un cadre d’action de lutte contre le réchauffement climatique : la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques). Cette convention réunit presque tous les pays du monde qui sont qualifiés de Parties. Leurs représentants se rassemblent une fois par an depuis 1995 lors des COP (Conferences of the Parties). C’est notamment lors de ces COP que les États signataires entérinent des accords sur la réduction des émissions anthropiques de gaz à effet de serre, dit alors additionnel. Du 30 novembre au 11 décembre 2015 avait eu lieu à Paris le sommet sur le climat COP21/CMP11, également appelé “Paris 2015”. Là, une convention internationale contraignante fut conclue, obligeant toutes les nations du monde à accepter les objectifs climatiques afin de maintenir le réchauffement climatique à moins de deux degrés Celsius.

Il n’est pas sans intérêt de rappeler qu’avant Paris 2015, le Fonds mondial pour la nature (anciennement World Wildlife Fund) publia le 29 octobre 2008 son Rapport Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque «les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux» représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% ’’pour commencer’’. Selon ce rapport, plus de trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme d’empreinte écologique). Les auteurs avaient demandé la «réduction de la population, de la consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des services».

Trois ans plus tard, le 7 avril 2011 soit un mois après la catastrophe du tremblement de terre-tsunami du 11 mars 2011 à Fukushima, le Conseil consultatif scientifique du gouvernement allemand sur le changement environnemental mondial (WBGU) publia une étude intitulée : World in Transition: A Social Contract for a Great Transformation. C’était la proposition brutale d’un écofascisme mondial (soit une dictature mondiale verte qui projetait la décarbonation complète de l’industrie énergétique mondiale. L’étude avait été préparée pendant six ans et, fait intéressant, a été désignée comme un “plan directeur pour la transformation sociale” par le président de la WBGU, Schellnhuber.

Ce qui était proposé expressis verbis et qui représente la trame de fond des politiques dites écologiques est une grande transformation dans laquelle la production, les modes de consommation et les modes de vie doivent tous être fondamentalement modifiés, comme cela s’est produit dans les deux transformations fondamentales précédentes de l’histoire du monde (la révolution néolithique et la révolution industrielle). Cette fois, cependant, la transformation est dirigée vers l’arrière, vers un «ordre économique mondial durable et compatible avec le climat».  En effet, la décarbonation de l’économie mondiale combinée à la fin simultanée de l’énergie nucléaire réduira la société humaine aux sources d’énergie renouvelables.

Or, au-delà même de la discussion sur la cause du changement climatique actuel, ce qui est très bien prouvé, dans le cadre de l’émission de CO2, c’est le lien entre la densité de flux d’énergie appliqué dans le processus de production et le nombre d’êtres humains qui peuvent être soutenus par ce niveau de processus de production. C’est l’idée qui avait été moins d’une année avant défendue par Bill Gates lors de la TED2010 dans son exposé Innovating to Zero sur l’utilisation de l’énergie, où il expliqua que pour rendre proche de zéro l’émission de CO2, il faut rendre proche de zéro un des facteurs de l’équation CO2 = Nombre des Personnes (P) x Nombre des Services par personnes (S) x Énergie par service (E) x CO2 par unité d’énergie (C).

En clair, cela signifie des densités de flux d’énergie qui correspondent en réalité au potentiel démographique de la société préindustrielle, soit environ 1 à 2 milliards de personnes. Et afin de pouvoir créer la base contractuelle de ce nouvel ordre économique mondial durable, les chantres de l’écologie revendiquent avec emphase un nouveau contrat social mondial. Le livre Covid-19, la Grande réinitialisation, nous a donnée une idée de ce que pourrait être un tel contrat social : une aliénation totale de chaque membre de la société et tous ses droits dans “l’intérêt” de la planète, et le transfert de ceux-ci à un nouveau Léviathan, le Super-État transnational.

Qu’est-ce que l’homme?

Peu avant la COP21, le conseiller du prince Philip pour les questions religieuses et climatiques, Martin Palmer, avait organisé le 21 juillet 2015 à Paris un «sommet de la conscience», en sa fonction de secrétaire général de l’Alliance pour les religions et la protection de l’environnement et au cours de laquelle , il s’attaqua à la doctrine anthropocentrique du salut à cette occasion. Il voulait dire par là que des religions telles que le christianisme, le judaïsme et l’islam avaient du mal à comprendre que l’humanité n’est tout simplement pas si importante. Il doit y avoir un débat entre les représentants de ces religions, a-t-il dit, afin d’effacer l’idée que l’espèce humaine représente quelque chose d’unique.

C’est ici qu’émerge l’idéologie inhumaine, qui est tout aussi caractéristique de la Révolution conservatrice dirigée contre les idées de 1789, que des nazis et du mouvement vert : l’être humain n’est qu’un animal supérieur, et donc la vie humaine est pas le moindre degré plus inviolable que celui des animaux. On peut également réduire le nombre d’êtres humains si nécessaire – qu’ils aient été les hilotes de l’ancienne Sparte, ou les “mangeurs inutiles” des nazis, ou maintenant les six milliards de personnes qui doivent être sacrifiées aux objectifs climatiques. Armin Mohler, l’ancien chef de la Fondation Siemens, a déjà décrit dans son livre du même nom, que la Révolution conservatrice veut revenir à la mythologie pré-chrétienne de Gaïa, car seule la vision chrétienne de l’humanité a apporté avec lui l’optimisme culturel qui a rendu possible le développement moderne de l’homo sapiens.

En occident, le christianisme a eu en effet un effet libérateur qu’est la caractérisation de l’homo sapiens comme imago viva dei, l’image vivante de Dieu, qui était la base de la perfectibilité humaine illimitée et de l’identité humaine en tant que couronne de la Création, et non en tant qu’animal supérieur. La même vision culturellement optimiste se retrouve également dans le confucianisme en Chine, l’humanisme africain (Ubuntu), et a été signifiée dans les écrits védiques en Inde. Dans les traditions pro-scientifiques de ces cultures se trouve également la raison pour laquelle les deux nations, lors de la Conférence sur le climat de Copenhague en 2009, se sont clairement opposées aux idées politiques des défenseurs d’un changement climatique anthropique, et ont ainsi offert leur soutien au G77 en refusant de signer un pacte de suicide, comme l’avait qualifié leur président de l’époque, Lumumba Di-Aping, lors d’une conférence de presse.

Le pape François capitule

Lors d’une conférence sur le climat organisée par le Vatican en 2007 le président de la Fédération mondiale des scientifiques, Antonio Zichichi, a rejeté l’utilisation de modèles informatiques comme totalement inadaptés aux prévisions climatiques à long terme en raison de la complexité du problème, et a souligné en plus des multiples influences du système solaire et de la galaxie sur le climat de la Terre, en opposition desquelles il a qualifié la contribution de l’homme au changement climatique d’absolument négligeable. Par ailleurs, plusieurs orateurs ont contredit le ministre britannique de l’Environnement Ed Miliband, lorsqu’il a affirmé que les objectifs du gouvernement britannique étaient les mêmes que ceux des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Et même lors du sommet de Copenhague sur le climat en 2009, le Vatican a très clairement attaqué la tendance malthusienne de l’affaire.

Ainsi, le fait que Schellnhuber ait fait accepter son programme à l’Académie pontificale des sciences soulève les questions les plus sérieuses quant à la manière dont cela a été possible. Car la dernière encyclique Laudato Si’ du Pape François, dans laquelle le changement climatique anthropique est présenté comme un fait scientifiquement certain, a représenté une rupture complète avec la vision de l’humanité dans la tradition augustinienne de l’Église catholique, et avec les encycliques depuis Pape Léon XIII. Schellnhuber était l’un des trois porte-parole qui ont présenté la nouvelle encyclique le 18 juin à Rome.

Nous ne pouvons qu’espérer que le Pape François, qui a par ailleurs dit des choses très importantes sur le caractère du système actuel du capital financier (à savoir qu’il s’agit d’un système qui viole le Cinquième Commandement, “Tu ne tueras pas”), inclura dans son interprétation la connaissance actuelle de l’univers qui englobe non seulement notre galaxie, mais des milliards de galaxies, et dont l’influence sur le climat de cette planète est décisive. On pourrait alors être sûr qu’il ne soutiendrait pas une politique pseudo-climatique qui ramènerait le potentiel démographique de la Terre à un ou deux milliards.

Conclusion

80 ans après la fin de la dictature nazie, le monde va vers une nouvelle dictature,   largement inaperçue par des contemporains sans méfiance. A la place de la doctrine discréditée de l’eugénisme, qui servait alors de prétexte à l’élimination des “races inférieures”, c’est aujourd’hui le changement climatique anthropique qui fournit l’argument pour instaurer cette dictature mondiale, qui pourrait frapper essentiellement les pays en développement et les pays dits nouvellement industrialisés, et dont l’intention déclarée est la réduction de la population mondiale.  Les pays récemment industrialisés et en développement ont certainement tous les problèmes d’environnement qui résultent soit d’une production de main-d’œuvre forcée à bon marché, soit d’un manque total de développement; mais cela ne veut pas dire qu’ils n’étaient donc pas en mesure de reconnaître les conséquences du master plan de décarbonation de l’économie mondiale. Ce sont essentiellement leurs populations qui faisaient partie des six milliards pour qui la capacité de charge de la Terre ne suffirait pas.

La tentative des participant aux conférences climatiques d’établir des objectifs climatiques contraignants dont toute la prémisse pourrait s’avérer un jour reposer sur une gigantesque fraude scientifique, et qui ne pourrait être réalisée que par une dictature mondiale (et cela dans un monde en danger aigu de destruction dans une troisième guerre mondiale thermonucléaire, un monde dont le système financier transatlantique fait face à une implosion et dans lequel des dizaines de millions de personnes sont déjà des réfugiés de la faim, de la guerre et des épidémies), doit être vaincu de manière décisive dans tous les cas.  Car, dans le cas où un Sommet sur le climat adopte un jour des réductions contraignantes des émissions de CO2, nous pouvons nous attendre à un monde qui ressemblerait à peu près à ce qu’il aurait été si Hitler avait gagné la guerre.

Ainsi plaidons-nous pour le réveil des peuples avant qu’il ne soit trop tard, avant la catastrophe : l’écoanthropocide, écodémocide ou écohomicide, extermination pure et simple de pans entiers des populations “au nom de la cause climatique”. La devise personnelle de Ludwig von Mises est ici instructive : “Ne cédez pas au mal, mais avancez toujours plus hardiment contre lui”. Que se lèvent donc toutes les personnes et nations éprises de leur liberté, de leur dignité, de leur souveraineté, et de leur droit à la vie.

Pour aller plus loin

Helga Zepp-LaRouche, “Defend Mankind from the Satanic Climate-Change Swindle”, in Global warming’ scare is population reduction, not science, Executive Intelligence Review, Special report, Sept 2015.

NASA, Scientific Consensus: Earth’s Climate Is Warming, NASA Global Climate Change.

Zimmerman, Michael E. “The Threat of Ecofascism”. Social Theory and Practice, vol. 21, no. 2, 1995, pp. 207–3

Jakub Bożydar Wiśniewski, Why the “New World Order” Is Impossible to Implement without Creating Mass Chaos, Mises Wire, Mises Institute, 9 August 2022.

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