Il est clair que les États-Unis, contrairement aux propos tenus par leurs hauts responsables, dont l'ancien président Clinton, ont joué un rôle plus important dans la tragédie rwandaise qu'ils ne l'admettent volontiers. Cette implication s'est poursuivie à travers les invasions successives menées par les Rwandais et les Ougandais du Zaïre/Congo voisin.
Avec l'arrivée de Laurent Kabila à Kinshasa, les forces du Conseil privé auprès de la monarchie britannique ont achevé la première phase de leur prise de l'Afrique centrale pour le Commonwealth britannique. A qui le tour?
Il est clair que les États-Unis, contrairement aux propos tenus par leurs hauts responsables, dont l'ancien président Clinton, ont joué un rôle plus important dans la tragédie rwandaise qu'ils ne l'admettent volontiers. Cette implication s'est poursuivie à travers les invasions successives menées par les Rwandais et les Ougandais du Zaïre/Congo voisin.
Il est clair que les États-Unis, contrairement aux propos tenus par leurs hauts responsables, dont l'ancien président Clinton, ont joué un rôle plus important dans la tragédie rwandaise qu'ils ne l'admettent volontiers. Cette implication s'est poursuivie à travers les invasions successives menées par les Rwandais et les Ougandais du Zaïre/Congo voisin.
Avec l'arrivée de Laurent Kabila à Kinshasa, les forces du Conseil privé auprès de la monarchie britannique ont achevé la première phase de leur prise de l'Afrique centrale pour le Commonwealth britannique. A qui le tour?